C.S.E. votre cabinet de radiologie et d’imagerie médicale  situé à Paris 10e

La radiologie est un examen simple permettant de diagnostiquer plusieurs types de pathologies à l’intérieur d’un corps humain. En utilisant des rayons X, le radiologue obtient une image radiographique. L’opacité et la netteté de celle-ci varient en fonction du type de tissu rencontré dans la zone observée. De manière générale, la radiologie peut être divisée en deux catégories :

radiologie conventionnelle (standard)
radiologie interventionnelle
Les équipes du C.S.E., centre d’imagerie médicale innovant et performant, mettent tout leur savoir-faire et leur solide expérience à la disposition de tous leurs patients. Notre équipe de radiologues spécialistes est prête à vous fournir des conseils et vous accompagne dans toutes les étapes de votre examen radiologique.

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Nos examens radiologiques avec rayonsX
Colonne vertébrale ou rachis

Qu’est-ce que la radiographie de la colonne vertébrale ?

Comme pour chaque examen radiologique, la technique utilise un appareillage émettant un faisceau de rayons X, parfaitement contrôlé, dont les principes généraux sont regroupés dans une fiche technique éditée par la Société Française de Radiologie : FICHE INFO RADIOPROTECTION PATIENTS

Les radiographies de face et de profil du rachis permettent de visualiser les vertèbres et les espaces intervertébraux, depuis la charnière cervico-occipitale jusqu’aux têtes fémorales. Les radiographies du rachis lombaire démontrent la présence de troubles dégénératifs. Les radiographies standards détectent des anomalies de la statique (scoliose par exemple) ou des glissements de vertèbres (anté-listhésis, rétrolisthésis). Elles peuvent mettre en évidence des tassements vertébraux. Des clichés obliques sont parfois effectués en complément (lorsqu’il existe un doute sur une lyse isthmique). En cas de suspicion d’instabilité, des incidences dynamiques (flexion, extension) peuvent être réalisés.

La radiographie standard est une représentation bidimensionnelle d’une structure tridimensionnelle. Des études ont montrés que des fractures peuvent passer inaperçues sur des radiographies standards. Dès lors, en cas de traumatisme d’une certaine importance, le rachis lombaire est plutôt évalué par le scanner.

Les disques, la moelle épinière, les racines nerveuses sont des structures radio-transparentes. Les radiographies standards du rachis lombaire ne peuvent pas mettre en évidence les hernies discales ou les pathologies de la moelle épinière. La recherche de ce type de lésions est du ressort du scanner ou de l’IRM.

Age osseux

Qu’est-ce qu’un âge osseux ?

Comme pour chaque examen radiologique, la technique utilise un appareillage émettant un faisceau de rayons X, parfaitement contrôlé, dont les principes généraux sont regroupés dans une fiche technique éditée par la Société Française de Radiologie : FICHE INFO RADIOPROTECTION PATIENTS

L’évaluation de l’âge osseux peut s’effectuer selon plusieurs méthodes. Le plus souvent, une radiographie de la main gauche permettra d’estimer de façon relativement fiable, la maturation osseuse de l’enfant. Le pédiatre peut également demander une analyse du coude à partir de 13 ans, voir une évaluation de l’ossification de la crête iliaque après 13 ou 15 ans.

De la naissance à la puberté, la radiographie de la main et du poignet permettra d’évaluer la maturation des os du carpe.

Cette estimation se fait en comparant les clichés publiés dans l’atlas de Greulich et Pyle à celui du poignet de l’enfant. Par exemple le sésamoïde du pouce apparait à 11 ans et 6 mois chez la fille et 13 ans chez le garçon.

Le Test de Risser, réalisé sur un cliché du bassin de face, est un bon reflet de la maturation du rachis. Le développement de ce point d’ossification est côté de 0 à 5.

Bassin bébé

Qu’est-ce qu’une radiographie du bassin chez le nourrisson ?

Comme pour chaque examen radiologique, la technique utilise un appareillage émettant un faisceau de rayons X, parfaitement contrôlé, dont les principes généraux sont regroupés dans une fiche technique éditée par la Société Française de Radiologie : FICHE INFO RADIOPROTECTION PATIENTS

Chaque année, 8 000 bébés naissent en France, avec un problème de hanche instable ou luxation congénitale de la hanche. Heureusement, un dépistage efficace, une bonne surveillance et des mesures simples permettent de résorber rapidement cette anomalie.

Comment surveiller les hanches d’un bébé ?

Dès son séjour à la maternité, tout nouveau-né fait l’objet de deux examens pédiatriques. Puis, tous les mois, il est revu par un médecin généraliste ou un pédiatre. A chaque fois, ses hanches sont examinées pour détecter une éventuelle instabilité. Malheureusement, le diagnostic reste difficile dans deux tiers des cas.
Lorsque le spécialiste a une présomption de hanche instable (appelée aussi luxable) ou lorsqu’il existe des antécédents familiaux, il peut s’aider d’examens complémentaires comme l’échographie (au premier mois) et la radiographie (à partir de 4 mois).
L’échographie occupe une place capitale dans le diagnostic et surtout le dépistage de la luxation congénitale de hanche. Elle permet de visualiser les structures cartilagineuses, avec l’avantage d’être non invasive en utilisant les ultrasons, rayonnements ionisants. Elle permet également un examen dynamique en réalisant les manœuvres de luxation. Cependant, pour en tirer le plus grand bénéfice, elle doit être réalisée par un opérateur expérimenté et toujours être confrontée aux résultats de l’examen clinique.
La radiographie est idéalement réalisée à l’âge de 4 mois, pour éviter les faux positifs dus à l’immaturité de la hanche.
Téléradiographie

Qu’est-ce qu’une téléradiographie du rachis

Comme pour chaque examen radiologique, la technique utilise un appareillage émettant un faisceau de rayons X, parfaitement contrôlé, dont les principes généraux sont regroupés dans une fiche technique éditée par la Société Française de Radiologie : FICHE INFO RADIOPROTECTION PATIENTS

Cette technique d’imagerie visualise l’intégralité du rachis depuis le crâne jusqu’à la partie proximale des fémurs.

Le nombre de clichés est défini automatiquement en fonction de la taille du sujet.

Une console informatique de traitement permet la recomposition des images transférées en une image unique, sur laquelle les mesures de la statique rachidienne sont réalisées par le médecin.

La téléradiographie permet de détecter la présence d’anomalie de la statique du rachis, telle qu’une scoliose par exemple, et de juger de son évolution. Selon les indications, la téléradiographie de face pourra être complétée d’une imagerie de profil à la recherche d’anomalies plus complexes ou associées.